(M) Warren Kovacs – recherche de tout !

37 ans – Il possède de faux papier américain, il est roumain d'origine – PACIFIC STAR CREW – Chef cuisinier, propriétaire de plusieurs restaurants étoilés – Hétérosexuel – Célibataire – Il est riche



CARACTÈRE – BOURREAU DES CŒURS - LIBERTIN - ÉGOÏSTE - HAUTAIN - BOURGEOIS - PRÉTENTIEUX - EXIGEANT - TALENTUEUX - INFIDÈLE - SARCASTIQUE - SOCIALE (MAIS AVEC CERTAINE LIMITE) - NE FAIT ABSOLUMENT PAS DANS LA CHARITÉ - CHARMEUR - MANIPULATEUR À SES HEURES PERDUS - TRAVAILLEUR - TACTILE - OUVRE FACILEMENT LA DISCUSSION - ABONNÉ AUX SOIRÉES MONDAINES - VÉNALE - BEAU PARLEUR - MONTRE TRÈS VITE SON ENNUIE QUAND ON NE L'INTÉRESSE PAS - HYPOCRITE - CACHE SON PASSÉ - MENTEUR



BIOGRAPHIE –  Les années 80, les années folles aux Etats Unis et dans quelques autres pays. Elles avaient fini par envahir une bonne partie du monde. Mais elle n’apporta pas que les bons côtés. Parce que dans sa vague de désinhibition, d’autre chose peut agréable se déroulait de l’autre côté de l’océan qui sépare les Etats Unis du reste du monde. En Roumanie, commençait à pulluler comme dans plusieurs autres pays de l’est, l’industrie de la prostitution. Comme un virus, ça avait envahi les bas fond de Budapest à une vitesse pharamineuse. C’était d’ailleurs, de ce virus que fut victime, Ellen quand elle eut à peine 18 ans, la demoiselle s’était laissé manipuler par des types peu recommandable. Sa vie prit ainsi un très mauvais tournant. Au début, elle ignorait encore tout ce qu’elle allait subir à cause de tout ça.  D’abord, elle avait beaucoup de mal, elle ne voulait pas faire ça, vendre son corps de cette façon, la dégoutait. Mais l’être humain est tel qu’il est, il finit toujours pas s’adapter, s’habituer et ainsi, instaurer une routine. Les années passaient et elle s’y était habitué, elle faisait ça machinalement, malgré les coups qu’elle recevait parfois, de son mac, peut content du peu de profits qu’il lui arrivait de faire. Puis le pire arriva. Le pire était un enfant, qui, se mit par surprise commencer à grandir dans son ventre. Ce petit parasite comptait montré le bout de son nez dans neuf mois. Elle le savait. De peur, elle cacha sa grossesse autant qu’elle le put, jusqu’à ce que ce soit trop visible.  Elle fut alors battue, lorsque son mac l’apprit. Obligée de travailler quand même jusqu’à ne plus pouvoir, elle n’attendait qu’une chose, se débarrasser de cet enfant, dont le père était totalement inconnu. Ça non plus, elle n’eut pas son mot à dire. Andreï ce mac violent avait des projets pour ce marmot. C’est ainsi, que Warren naquit, dans un squat avec comme lit, un carton au sol. Andreï voulait un enfant, on venait de lui servir sur un plateau en argent.

Elevé dans une grande maison, la prostitution rapportant assez gros, le petit garçon fut élevé avec une cuillère en argent dans la bouche. Un petit prince, descendu du ciel, que dirait ce mac dans un de ses énièmes discours pour expliquer à quel point, il était fier d’avoir cet enfant. Il lui répétait, chaque jours. Il lui bourrait littéralement le crâne de ses valeurs boiteuses et malsaine. Ainsi, le petit roumain grandit dans l’idée que les femmes étaient là pour faire gagner de l’argent à papa et que l’argent c’était ce qu’il y avait de plus important, que même la vie l’est moins. C’est ainsi que naquit un enfant encore plus toxique et dangereux que son paternel. Il rentra d’ailleurs, assez vite dans les affaires, à ses seize ans. Warren voulait faire ses preuves face à son père exigeant. Il se savait meilleur que lui, déjà à son âge. Parce que malgré l’éducation malsaine qu’il avait, il allait à l’école, il étudiait, beaucoup. Alors il engrangeait des connaissances que son paternel n’a pas. Il lisait beaucoup aussi, lui donnant alors des idées toujours aussi sordides les unes que les autres. Ne se rendant même pas compte, ignorant totalement son existence, qu’il exploitait sa propre mère.  

Deux ans plus tard, il eut la merveilleuse idée de suggérer à son père d’étendre leurs activités à un business encore plus lucratif. Warren ayant agrandit son cercle de connaissance, il avait accès à certaine ressource. Ainsi, les Kovacs grandir leurs affaires et se mirent au trafic de drogue, ce qui fut extrêmement simple à implanter dans leur répertoire client déjà bien fourni. L’argent ne mit pas longtemps à couler à flot, mais il fallait blanchir l’argent. Son père, qui commençait à se faire vieux décida de ça. Ce dernier rêvait d’ouvrir un restaurant, car son seul talent en dehors de la traite des femmes était la cuisine. Warren étant toujours le plus grand fan de son paternel, le suivit dans son projet. Son père le forma et l’obligea à prendre des cours de cuisine dans la foulée. Leur affaire marchait plutôt bien. Et alors que Warren allait vers ses trente ans, son père rentra en trombe d’une course, des billets d’avions et des faux papiers en main. Il le donna à son fils et se mit à lui crier dessus, qu’il devait partir le plus vite possible. Il devait quitter le pays. Ils avaient fini par se faire remarquer et le vieux Kovacs refusait de voir son fils en prison, choisissant ainsi de plonger seul.

Alors que son père finit en prison à perpétuité quelque mois plus tard, Warren lui, avait pu fuir jusqu’aux Etats-Unis. Là-bas, il quitta le monde de la criminalité pour simplement ouvrir son restaurant, faire sa vie. Mais il restait ce type mauvais, avide d’argent. Se prenant de passion pour la gastronomie, il évolua dans cet univers jusqu’à ce que sept ans plus tard, les affaires florissent, ouvrant ainsi plusieurs restaurants de renom dans tout le pays. Il fut alors recruté pour le Pacific Star et ainsi y ouvrir son restaurant gastronomique. Son égo ne put refuser une telle offre, comptant bien conquérir le monde avec ses mets tandis qu’il continue de collectionner les femmes sur sa route.