III – Checklists des Escales

Les destinations vous seront révélées au fur et à mesure des versions du forum, mais il est déjà possible de se faire une idée générale des continents que le bateau sera amené à visiter.

01 – Octobre – départ : Miami
02 – Novembre : Reykjavík
03 – Décembre : Europe

04 – Janvier : Europe
05 – Février : Afrique
06 – Mars : Afrique

07 – Avril : Asie
08 – Mai : Océanie
09 – Juin : Asie

10 – Juillet : Amérique du Nord
11 – Août : Amérique du Nord
12 – Septembre : Amérique du Nord

Afin de vous permettre un voyage des plus agréables, tâchez de prendre note des informations suivantes.

LE PAYS

Quand les premiers colons vikings sont arrivés en Islande à la fin du 9ème siècle après Jésus-Christ, l’île était inhabitée. Si elle est aujourd’hui un pays moderne, on peut encore y observer les marques du passé à travers le riche héritage culturel qui y a été préservé. La culture islandaise repose avant tout sur la langue, véhicule d’une importante tradition littéraire remontant aux Sagas Islandaises anciennes, récits de violentes querelles sanglantes, mêlant traditions, familles et personnalités. Aujourd’hui encore, la production littéraire est très forte, si bien que les auteurs islandais ont le plus fort taux de publication par habitant du monde. L’Islande accueille aussi une scène musicale prospère, une industrie cinématographique bourgeonnante et un art du design dont la notoriété grandit.

LA CAPITALE (REYKJAVÍK)

Bienvenue dans la ville la plus verte du monde (littéralement traduite par « Baie des Fumées »), à savoir, Reykjavík, capitale de l'Islande (la terre de glace). Située à environ 250 kilomètres au sud du cercle polaire arctique, Reykjavík est la capitale la plus septentrionale d'un État souverain. Ville la plus peuplée du pays, elle regroupe (avec son agglomération) quasiment les deux tiers de la population de l'île.

Étalée le long d'une baie dans une zone comptant de nombreuses sources d’eau chaude, Reykjavík est considérée comme la ville la plus verte du monde avec pas moins de 410m² d'espaces verts par habitant. La capitale compte également de nombreux musées sur l'histoire de la ville et du pays ainsi que sur la faune et la flore, notamment les oiseaux et les baleines locales.

LE CLIMAT

La météo est assurément le sujet de conversation de prédilection de tous les islandais qui en ont d’ailleurs fait un proverbe populaire : « Si tu n’aimes pas le temps, attends 5 minutes », tant elle est imprévisible. L’île bénéficie de températures beaucoup plus douces que sa position géographique, aux portes de l’Arctique, grâce aux courants océaniques qui la traversent. Au mois de novembre, il y fait en moyenne 1°C et l’amplitude thermique est très faible : -2°C au plus froid de la nuit, et guère plus haut que 4°C les jours les plus chauds. Les jours décroissent très rapidement puisque l’on perd en moyenne 6 à 7 minutes de lumière par jour. Le soleil se lève autour de 9h30 et se couche vers 16h30.

LA NATURE

Les islandais jouissent de l’une des espérances de vie les plus longues du monde, et la pureté de leur environnement combinée à la qualité de leur alimentation et train de vie n’y est pas pour rien. La grande qualité de l’air est due au climat Nord-Atlantique océanique et aux vents réguliers qui parcourent l’île.

Au-delà des piscines et bassins artificiels qu’ils ont construit, les islandais ont la chance de pouvoir profiter de sources chaudes naturelles et de lagons géothermiques à l’image du célèbre Lagon Bleu ou des bains naturels de Mývatn dont les niveaux élevés de silicates et autres minéraux ont des propriétés rajeunissantes pour la peau.

Malgré sa nature volcanique et le peu de végétation qu’elle abrite, l’Islande est devenue le terrain de jeu d’une grande diversité d’espèces animales. La faune présente avant l’arrivée de l’homme sur ces terres est riche et unique : Renards arctiques, baleines, phoques, macareux et ours polaires cohabitent sur le territoire. La colonisation de l’île a également contribué à la peupler d’animaux qui se sont adaptés à la nature parfois hostile : rennes, moutons et chevaux sont arrivés avec les hommes et font désormais partie intégrante du paysage.

LA GASTRONOMIE

Dans le passé, les ressources islandaises étaient très rares et peu variées, le manque de lumière limitant énormément la chasse et la pêche et l’isolement de l’île, sous le cercle polaire, rendait l’importation des biens alimentaires très difficile. Néanmoins, les avancées technologiques et l’utilisation de l’énergie géothermale ont depuis permis l’utilisation de produits frais et locaux, cultivés toute l’année ce qui explique pourquoi, au cours des dernières décennies, la gastronomie locale a pu bourgeonner.

Si dans les villes, modernes, les différentes cuisines du monde sont accessibles à tous, les restaurants du pays proposent une sélection riche de plats (étrangers comme islandais) inspirés de la faune et de la flore locale. Les éléments principaux de la cuisine islandaise ont cependant peu changé depuis l’installation des premiers hommes sur l’île et les plats les plus populaires sont composés de poisson, d’agneau ou de skyr (un laitage à mi-chemin entre le yaourt et le fromage). Les jeunes chefs réinventent cependant ces traditions au quotidien en créant une cuisine innovante et moderne pour revisiter les plats d’antan.

EN DEHORS DE REYKJAVíK

– VÍK Í MÝRDAL et la plage de sable noir
– GRINDAVÍK et le lagon bleu
– BOLUNGARVÍK et la réserve naturelle
– HÚSAVÍK et le canyon en forme de fer à cheval
– LAC MÝVATN et le volcan Krafla
– EYJAFJÖLL et sa calotte glaciaire

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LA REGION

La région a été colonisée depuis le Paléolithique, par une population typiquement Néandertalienne, et a été touchée par plusieurs vagues d'expansion celtiques, ayant permis d'implanter la culture celte sur le territoire. Malgré des invasions postérieures par différents peuples (romains, vikings, Angleterre, France), cette culture est restée fortement ancrée dans les traditions bretonnes. Elle se véhicule notamment par la quasi-omniprésence de la langue bretonne, passeport de l'identité régionale. La culture se caractérise également par un fort patrimoine maritime et musical.

BREST

Ville la plus importante de l'ouest breton, et second port militaire de France, Brest est dotée d'une forte histoire. La cité fortifiée par le célèbre Vauban est le point de départ des grandes explorations, presque entièrement détruite lors de la Seconde Guerre Mondiale, et s'associe depuis à une architecture caractéristique des années 1930. On y retrouve de nombreuses attractions touristiques d'intérêt, tels que le célèbre aquarium Océanopolis, ou le jardin des explorateurs.

LE CLIMAT

La Bretagne se caractérise par un climat océanique, marqué par la proximité de l'Atlantique, et d'une forte douceur. Les écarts de température entre été et hiver sont relativement importants, de l'ordre d'une quinzaine de degrés, mais varient selon l'éloignement aux côtes. Malgré de nombreux préjugés français, le climat breton reste agréable, et n'est pas mauvais. Si les jours de précipitations sont, certes, plus fréquents que la moyenne national, le cumul de précipitations n'est, en revanche, pas plus élevé! La région est également balayée par les vents, essentiellement de nord-ouest, et le climat change rapidement.

LA NATURE

Si la Bretagne était autrefois associée à des paysages de bocages, elle a, suite à des remembrements, changé de visage, malgré une végétation toujours abondante. Ses paysages vont des dunes de sable balayées par le vent aux falaises de calcaire ou de granite abruptes, en passant par les plaines et les landes tapissées de bruyère. Les paysages y sont donc variés, et servent de refuges à une faune et à une flore toute aussi diversifiée: la Bretagne présente notamment une importante richesse ornithologique, tels que bernaches, spatules, échassiers, aigrettes, hérons ou cormorans - et même des pingouins au Cap Sizun.

LA GASTRONOMIE

La Bretagne s'associe à de nombreuses spécialités régionales: on retrouve, en place prédominante dans les assiettes, les produits de la mer, comme traduction directe de la proximité à l'océan. Des nombreux coquillages, crustacés, ou encore poissons se retrouvent quotidiennement sur les étals, frais de la dernière pêche, et de nombreuses conserveries locales permettent de consommer ces produits toute l'année. Une part belle est également donnée à l'ostréiculture. Notons également la place prédominante du beurre salé dans la cuisine bretonne!
La région est également connue pour ses spécialités plus sucrées, pour les amateurs de desserts, telles que les crêpes, le kouign-amann, le far breton, le Vitréais, les kouign, ou encore les célébrissimes palets bretons.
La Bretagne s'associe également à une culture de boissons traditionnelles: le cidre y est fortement représenté, ainsi que les dérivés de la culture pomicole, extrêmement importante dans la région. On retrouvera ainsi du Lambig (eau-de-vie de cidre) ou du pommeau (obtenu par assemblage de Lambig et de jus de pomme). La Bretagne est également productrice de chouchen, l'hydromel local, de bières, ou de whiskies médaillés.