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- Legion Ludchance
48 05/10/2018
Damaris Goddrie
Electre
25
Sur le Pacific Star
Equipage
Messages : 48 Date d'inscription : 05/10/2018
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Crédits : Electre
Age du personnage : 25
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C'est beau l'humanité, quand même. Chiant, terriblement inutile et encombrant, mais beau.
Legion (Nom de jeune fille : Varl) Ludchance – 25 ans – Américaine – Pacific Star Crew
Têtue • Douce • Perdue dans sa Foi • Hyper active • Bourrée de regrets • Trop dans ses pensées • Rigole facilement • Mais fait aussi souvent semblant • Sourire vrai, attitude faussée • Cherche à s'oublier • Toujours amoureuse de feu son époux • Romantique désillusionnée • Rêve de liberté • Insomniaque • Passionnée par l'informatique et les prothèses • Curieuse, trop parfois • Notion d'intimité particulière • Portera à jamais son alliance • Parle anglais, chinois et espagnol • Une bille dans beaucoup de domaines ensuite • Déteste la politique, n'en parle jamais • Bavarde sans l'être, dépend du jour • Nostalgique avec l'envie d'avancer • Aime profondément les océans et les requins • Tatouée parce que ça a du sens pour elle. SPEED DATING – Le plafond n’a rien à me montrer. Il n’est que noirceur, comme le reste. De cette pièce, de ce cœur qui y bat. Pour quoi bat-il encore ? Parfois, je l’oublie quelques instants. Le souffle se coupe à chaque fois que je tente d'y penser. Il finit par revenir, saccadé, comme épuisé du voyage parcouru pendant ce laps de temps infiniment court. Comme quoi, il peut suffire d’une seconde pour se sentir mourir. Le regard se fait encore plus noir que l’obscurité. Par le Seigneur, quel est donc cette douleur lancinante qui ne cesse de faire battre mes tempes ? Quel est donc ce sentiment étouffant qui me prive de mes nuits ? Silence, Coeur ! Cesse ce son qui me pourrit les veines de ton vide ! Cesse, CESSE !
Les hurlements dans la nuit ne changent rien au silence. Le son de notre propre voix ne brise en rien la symphonie que l'absence créée. Avez-vous déjà tenté de vous écouter respirer ? C'est comme si à force, on était plus sûr de la mélodie de notre propre corps. Qu'à faire trop attention au souffle, il vient à manquer. Et les limbes nous cueille d'un baiser trop terrible. Suffocation contre l'oreiller alors qu'on se relève vivement pour faire autre chose. N'importe quoi, n'est-ce pas, pour oublier le vide. Celui qui nous lèche l'échine chaque jour, qui s'insinue dans le creux des os d'un froid qui ne paralyse pas que le coeur. Voyez vos sourires dans le miroir, comme ils sont sans sens. Poupée de chair qui voudrait être chiffons. Pinocchio, tu étais si heureux tout fait de bois. Pourquoi vouloir être un petit garçon ? On grandit nous, tu sais. Et ce n'est pas beau à voir.
Humanité, ne t'en fais pas. Cela va mieux, au fond. Ne nous leurrons pas, remarquons comme les matinées semblent moins amères, comme la douleur semble se diluer dans le reste. Que le regard se pose sur la mer avec cette sensation d'être la bouteille à la mer sans message en son sein. Nulle trace sous le sternum. Les doigts qui parfois parcourent la rambarde du navire quand on passe d'un point à un autre. Que l'installation se poursuit et que la sensation d'un travail bien fait supplante le reste. J'avais oublié de refermer la bouteille, elle est tombée tout au fond de l'eau. Des câbles, des données, un serveur qui voguera au gré des vagues avec moi. Et le doux ronronnement qui me verra dormir tout proche parfois. À quoi bon une cabine quand on peut avoir cela à portée d'oreilles ? Mais ne t'en fais pas, Humanité. Nous avons tant vécu ensembles. Laisse-moi à la dérive, laisse-moi parcourir l'écume et boire le sel des larmes qui parviendront parfois au travers des lèvres, après avoir barré la route au reste. Laisse-moi, Humanité, nous n'avons déjà que trop parlé.
Il avait de ses vieilles manières, que l'âge entretient à merveille, que l'ego aussi. Au départ, elle l'avait détesté, le Roi de Pique. Au départ, elle n'avait pas confiance. Elle savait qu'elle ne serait qu'une marionnette entre ses mains, qu'il allait être la suite de ce père démissionnaire. Elle l'a regardé en acceptant ce destin, qu'elle ne serait jamais rien, déjà vide de sens la gosse. Quand cela avait-il foiré ? Quand le maître était-il devenu autre chose ? Depuis combien de temps l'oreille était devenue attentive et les gestes tendres ? Ce regard posé sur elle, était-il bien là ? N'était-ce pas le fruit de ses imaginations ? Et cette inquiétude qui perçait la carapace quand elle revenait blessée de ses trop nombreuses mésaventures ? Était-ce bien lui qui avait baisé ses mains, sur le rong des phalanges, comme pour tenter de soigner les maux avec une douceur qu'elle n'avait jamais connue ? Ah, que le coeur fut lourd durant des années, que la langue fut pesante avec le poids du secret. Jusqu'au jour où il l'a invité à approcher, à lui demander de lui tenir compagnie, qu'il se sentait bien seul sur le fauteuil. C'était une femme désormais, Legion, qu'il avait vu grandir et n'avait jamais su s'arrêter d'aimer. Elle a approché et les mots ont fini par franchir la barrière des lèvres, quand elle l'a supplié du fond de la rétine de se dévoiler.
Comme elle peut chérir cette instant. Comme elle peut se repasser la cassette en boucle, se rappeler de ses dix-huit ans à peine atteint, de ce coeur qui a battu la chamade, de ce souffle coupé. Ce n'était pas une hésitation, même s'il avait pu lui sembler à lui. C'était un moment savouré, le début d'une nouvelle vie. Alors elle lui a dit qu'elle l'aimait aussi, à cet Azael aux souvenirs trop usés déjà, au corps déjà en charpie que la maladie emportera des années plus tard. Lèvres rompues à l'exercice du baiser, de longues minutes plus tard. Et depuis... Depuis, elle n'a plus jamais su s'arrêter d'aimer. Il fut son tout alors qu'elle n'était qu'un petit rien. Les rides qui se creusaient au coin des yeux de son mari étaient les plus belles choses qu'elle avait pu contempler. Elle a trop aimé, Legion. Lui aussi. Ils savaient. Que s'il avait survécu à la fatalité, ils auraient sans doute coulé à deux, à trop s'adorer. Il était son tout, elle était sa Reine. Désormais, elle vogue sans couronne. Sans plus rien. Comme unique royaume celui qu'on lui offre dans un poste pour lequel elle a travaillé longuement. Les écrans deviennent les reflets de ce coeur meurtri. Et pourtant, il est fou de constater comme aujourd'hui, elle préfère regarder la mer plutôt qu'eux.
○ ○ ○
Les hurlements dans la nuit ne changent rien au silence. Le son de notre propre voix ne brise en rien la symphonie que l'absence créée. Avez-vous déjà tenté de vous écouter respirer ? C'est comme si à force, on était plus sûr de la mélodie de notre propre corps. Qu'à faire trop attention au souffle, il vient à manquer. Et les limbes nous cueille d'un baiser trop terrible. Suffocation contre l'oreiller alors qu'on se relève vivement pour faire autre chose. N'importe quoi, n'est-ce pas, pour oublier le vide. Celui qui nous lèche l'échine chaque jour, qui s'insinue dans le creux des os d'un froid qui ne paralyse pas que le coeur. Voyez vos sourires dans le miroir, comme ils sont sans sens. Poupée de chair qui voudrait être chiffons. Pinocchio, tu étais si heureux tout fait de bois. Pourquoi vouloir être un petit garçon ? On grandit nous, tu sais. Et ce n'est pas beau à voir.
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Humanité, ne t'en fais pas. Cela va mieux, au fond. Ne nous leurrons pas, remarquons comme les matinées semblent moins amères, comme la douleur semble se diluer dans le reste. Que le regard se pose sur la mer avec cette sensation d'être la bouteille à la mer sans message en son sein. Nulle trace sous le sternum. Les doigts qui parfois parcourent la rambarde du navire quand on passe d'un point à un autre. Que l'installation se poursuit et que la sensation d'un travail bien fait supplante le reste. J'avais oublié de refermer la bouteille, elle est tombée tout au fond de l'eau. Des câbles, des données, un serveur qui voguera au gré des vagues avec moi. Et le doux ronronnement qui me verra dormir tout proche parfois. À quoi bon une cabine quand on peut avoir cela à portée d'oreilles ? Mais ne t'en fais pas, Humanité. Nous avons tant vécu ensembles. Laisse-moi à la dérive, laisse-moi parcourir l'écume et boire le sel des larmes qui parviendront parfois au travers des lèvres, après avoir barré la route au reste. Laisse-moi, Humanité, nous n'avons déjà que trop parlé.
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Il avait de ses vieilles manières, que l'âge entretient à merveille, que l'ego aussi. Au départ, elle l'avait détesté, le Roi de Pique. Au départ, elle n'avait pas confiance. Elle savait qu'elle ne serait qu'une marionnette entre ses mains, qu'il allait être la suite de ce père démissionnaire. Elle l'a regardé en acceptant ce destin, qu'elle ne serait jamais rien, déjà vide de sens la gosse. Quand cela avait-il foiré ? Quand le maître était-il devenu autre chose ? Depuis combien de temps l'oreille était devenue attentive et les gestes tendres ? Ce regard posé sur elle, était-il bien là ? N'était-ce pas le fruit de ses imaginations ? Et cette inquiétude qui perçait la carapace quand elle revenait blessée de ses trop nombreuses mésaventures ? Était-ce bien lui qui avait baisé ses mains, sur le rong des phalanges, comme pour tenter de soigner les maux avec une douceur qu'elle n'avait jamais connue ? Ah, que le coeur fut lourd durant des années, que la langue fut pesante avec le poids du secret. Jusqu'au jour où il l'a invité à approcher, à lui demander de lui tenir compagnie, qu'il se sentait bien seul sur le fauteuil. C'était une femme désormais, Legion, qu'il avait vu grandir et n'avait jamais su s'arrêter d'aimer. Elle a approché et les mots ont fini par franchir la barrière des lèvres, quand elle l'a supplié du fond de la rétine de se dévoiler.
"Je vous aime, Legion."
Comme elle peut chérir cette instant. Comme elle peut se repasser la cassette en boucle, se rappeler de ses dix-huit ans à peine atteint, de ce coeur qui a battu la chamade, de ce souffle coupé. Ce n'était pas une hésitation, même s'il avait pu lui sembler à lui. C'était un moment savouré, le début d'une nouvelle vie. Alors elle lui a dit qu'elle l'aimait aussi, à cet Azael aux souvenirs trop usés déjà, au corps déjà en charpie que la maladie emportera des années plus tard. Lèvres rompues à l'exercice du baiser, de longues minutes plus tard. Et depuis... Depuis, elle n'a plus jamais su s'arrêter d'aimer. Il fut son tout alors qu'elle n'était qu'un petit rien. Les rides qui se creusaient au coin des yeux de son mari étaient les plus belles choses qu'elle avait pu contempler. Elle a trop aimé, Legion. Lui aussi. Ils savaient. Que s'il avait survécu à la fatalité, ils auraient sans doute coulé à deux, à trop s'adorer. Il était son tout, elle était sa Reine. Désormais, elle vogue sans couronne. Sans plus rien. Comme unique royaume celui qu'on lui offre dans un poste pour lequel elle a travaillé longuement. Les écrans deviennent les reflets de ce coeur meurtri. Et pourtant, il est fou de constater comme aujourd'hui, elle préfère regarder la mer plutôt qu'eux.
Responsable IT – Pansexuelle – Anciennement mariée – Moyenne
NEVER HAVE I EVER – Je n’ai jamais su dire les choses essentielles. Je me perds dans des labyrinthes, ne sais pas comment m'exprimer de manière succincte.
Je n’ai jamais su regarder sincèrement les étoiles quand il était à mes côtés. Il était tel un phare qui m'éblouissait trop dans la nuit pour parvenir à ne pas me tourner vers lui, pour ne pas regarder son profil, croiser son regard lorsqu'il venait à son tour à regarder vers moi à son tour.
Je n’ai jamais su lui dire comme il était réellement important pour moi. Mes mots d'amour sonnaient creux et ma ferveur à son égard semblait si insipide par rapport à tout ce qu'il pouvait être. J'aurais aimé être à sa hauteur, pas la simple gosse dont il avait pris soin à défaut de ce père absent et pour laquelle il est finalement tombé.
Je n’ai jamais su faire autre chose de ma vie que ce que je peux faire désormais. L'informatique est une passion qu'il a entretenue avec soin, me poussant à m'envoler encore, dévoilant ce potentiel inexploité. Il a été mon fer de lance et je ne lui ai jamais dit.
Je n’ai jamais su passer à autre chose encore. Une obsession porte bien son nom parfois et il en restera une, pourvu d'un mystère en plus, d'un flou propre à l'être humain. Puis surtout, d'un froid propre à la Mort. Danserons-nous encore un jour, amour ?
Je n’ai jamais été dans un parc d'attraction. Les hauteurs sont à la fois mes amies et ennemies. Regarder une marée humaine n'a jamais été de mon goût, encore moins de m'y mêler. Alors j'ai refusé poliment toutes les invitations. Et peut-être que je regrette cela aussi.
Je n’ai jamais pu revoir mon père, depuis son départ. Il était un modèle qui s'est évanoui dans la nature, bourré de ses promesses sans fond, pleines de mensonges. Rien n'a jamais été accompli et il n'y a eu qu'Azael pour tenter de tenir les engagements.
Je n’ai jamais eu d'animal de compagnie. J'ai peur de ne pas savoir m'en occuper comme il faudrait, peur de rendre la bête triste. Et personne ne veut être triste, n'est-ce pas ? De toute manière, il est trop tard. Bien trop tard.
Je n’ai jamais eu l'occasion de nager avec des requins encore. C'est un rêve simple mais ô combien important. Parce qu'un rêve quand même, un quelque chose d'ostentatoire auquel me raccrocher.
Je n’ai jamais. Point à la ligne. Il y a tellement de regrets, tellement de choses auxquelles je ne pourrais pas même penser. La tête pleine, le creux au coeur du médiastin. Douce mélodie, où sont passés tes notes ? Il serait parfois plus simple de dire ce que j'ai déjà pu faire. La liste serait bien plus courte. J'ai aimé. J'ai cru. J'ai vécu. J'ai appris l'amertume et le bonheur. J'ai été. Et je suis encore. Mais je n'ai jamais su être moi, finalement. Clé de Fa, suivi du mi mineur. Et puis tout s'en va...
IN REAL LIFE – Théodore, 26 ans déjà que je foule cette fichue terre, féru depuis trois ans de rp, j'aime les fajitas au tofu et les lasagnes. Y'a un nouvel album de TOP aujourd'hui et l'ouverture du forum, je suis un homme comblé et pleinement épanoui à cet instant ! 
Legion est un vieux personnage, un des premiers que j'ai pu faire à vrai dire. J'espère que cette seconde vie saura effacer toutes les blessures qui peuvent être liées à elle. 
Peut-être que j'aurais dû retirer son ancienne vie sentimentale mais j'en suis profondément incapable parce qu'il fut parmi les plus beaux instants de Legion et que je ne peux l'effacer ainsi. Des bisous ! 
Je n’ai jamais su regarder sincèrement les étoiles quand il était à mes côtés. Il était tel un phare qui m'éblouissait trop dans la nuit pour parvenir à ne pas me tourner vers lui, pour ne pas regarder son profil, croiser son regard lorsqu'il venait à son tour à regarder vers moi à son tour.
Je n’ai jamais su lui dire comme il était réellement important pour moi. Mes mots d'amour sonnaient creux et ma ferveur à son égard semblait si insipide par rapport à tout ce qu'il pouvait être. J'aurais aimé être à sa hauteur, pas la simple gosse dont il avait pris soin à défaut de ce père absent et pour laquelle il est finalement tombé.
Je n’ai jamais su faire autre chose de ma vie que ce que je peux faire désormais. L'informatique est une passion qu'il a entretenue avec soin, me poussant à m'envoler encore, dévoilant ce potentiel inexploité. Il a été mon fer de lance et je ne lui ai jamais dit.
Je n’ai jamais su passer à autre chose encore. Une obsession porte bien son nom parfois et il en restera une, pourvu d'un mystère en plus, d'un flou propre à l'être humain. Puis surtout, d'un froid propre à la Mort. Danserons-nous encore un jour, amour ?
Je n’ai jamais été dans un parc d'attraction. Les hauteurs sont à la fois mes amies et ennemies. Regarder une marée humaine n'a jamais été de mon goût, encore moins de m'y mêler. Alors j'ai refusé poliment toutes les invitations. Et peut-être que je regrette cela aussi.
Je n’ai jamais pu revoir mon père, depuis son départ. Il était un modèle qui s'est évanoui dans la nature, bourré de ses promesses sans fond, pleines de mensonges. Rien n'a jamais été accompli et il n'y a eu qu'Azael pour tenter de tenir les engagements.
Je n’ai jamais eu d'animal de compagnie. J'ai peur de ne pas savoir m'en occuper comme il faudrait, peur de rendre la bête triste. Et personne ne veut être triste, n'est-ce pas ? De toute manière, il est trop tard. Bien trop tard.
Je n’ai jamais eu l'occasion de nager avec des requins encore. C'est un rêve simple mais ô combien important. Parce qu'un rêve quand même, un quelque chose d'ostentatoire auquel me raccrocher.
Je n’ai jamais. Point à la ligne. Il y a tellement de regrets, tellement de choses auxquelles je ne pourrais pas même penser. La tête pleine, le creux au coeur du médiastin. Douce mélodie, où sont passés tes notes ? Il serait parfois plus simple de dire ce que j'ai déjà pu faire. La liste serait bien plus courte. J'ai aimé. J'ai cru. J'ai vécu. J'ai appris l'amertume et le bonheur. J'ai été. Et je suis encore. Mais je n'ai jamais su être moi, finalement. Clé de Fa, suivi du mi mineur. Et puis tout s'en va...
Legion est un vieux personnage, un des premiers que j'ai pu faire à vrai dire. J'espère que cette seconde vie saura effacer toutes les blessures qui peuvent être liées à elle. Peut-être que j'aurais dû retirer son ancienne vie sentimentale mais j'en suis profondément incapable parce qu'il fut parmi les plus beaux instants de Legion et que je ne peux l'effacer ainsi. Des bisous ! NooBody
- Darcy Svärdstaal
135 02/09/2018
MIMI SIVAN.
smmg
23 ANS.
BORN IN THE USA.
Sur le Pacific Star
PROFESSEUR DE CHANT JEUNESSE
Equipage
Messages : 135 Date d'inscription : 02/09/2018
Avatar : MIMI SIVAN.
Crédits : smmg
Age du personnage : 23 ANS.
Pays d'origine & nationalité : BORN IN THE USA.
En ce moment : Sur le Pacific Star
Métier ou occupation : PROFESSEUR DE CHANT JEUNESSE
Elle est juste trop belle 
Bon courage pour ta fiche et bienvenue sur Pacific Star
Bon courage pour ta fiche et bienvenue sur Pacific Star
- Cappie Hernandez
193 08/08/2018
cenit nadir
kane
25 ans
costa Rica & costa ricaine/italienne
bisexuelle
celibataire
Sur le Pacific Star
maitre nageuse
modeste
Equipage
Messages : 193 Date d'inscription : 08/08/2018
Avatar : cenit nadir
Crédits : kane
Age du personnage : 25 ans
Pays d'origine & nationalité : costa Rica & costa ricaine/italienne
Orientation sexuelle : bisexuelle
Statut matrimonial : celibataire
En ce moment : Sur le Pacific Star
Métier ou occupation : maitre nageuse
Classe sociale : modeste
ce personnage est de toute beauté. 
et damaris lui va tellement bien. et c'est sans ajouter ta plume qui est magnifique. bienvenue. 
et damaris lui va tellement bien. et c'est sans ajouter ta plume qui est magnifique. bienvenue. - Ella Delgado
165 05/10/2018
Kryten Ritter
Junkiie
30
Espagnole, américaine
bisexuelle
célibataire
Sur le Pacific Star
Hôtesse
moyenne
Equipage
Messages : 165 Date d'inscription : 05/10/2018
Avatar : Kryten Ritter
Crédits : Junkiie
Age du personnage : 30
Pays d'origine & nationalité : Espagnole, américaine
Orientation sexuelle : bisexuelle
Statut matrimonial : célibataire
En ce moment : Sur le Pacific Star
Métier ou occupation : Hôtesse
Classe sociale : moyenne
Bienvenue ^^
- Morgan Hadreshaw
116 05/10/2018
Dylan O'Brien.
27 ans.
Franco-Américain, né sur le territoire Américain mais a vécu une très longue partie de sa vie en France
Bisexuel. Pas fermé quoi.
Célibataire.
Sur le Pacific Star
Chef gastronomique de renommé.
Aisée.
Equipage
Messages : 116 Date d'inscription : 05/10/2018
Avatar : Dylan O'Brien.
Age du personnage : 27 ans.
Pays d'origine & nationalité : Franco-Américain, né sur le territoire Américain mais a vécu une très longue partie de sa vie en France
Orientation sexuelle : Bisexuel. Pas fermé quoi.
Statut matrimonial : Célibataire.
En ce moment : Sur le Pacific Star
Métier ou occupation : Chef gastronomique de renommé.
Classe sociale : Aisée.
Un personnage qui promet, j'ai été happée par ton style 
Bienvenue
Bienvenue
- Brooklyn Carson
456 31/07/2018
Lewis Burton
me
26 ans
États-Unis (Miami), Américain
Hétérosexuel
Célibataire à vie (ou pas)
Un citoyen lambda
Entrepreneur (créateur d'une application de rencontres élitiste) et investisseur du Pacific Star
Qui veut compter des (mes) millions ?
Passager
Messages : 456 Date d'inscription : 31/07/2018
Avatar : Lewis Burton
Crédits : me
Age du personnage : 26 ans
Pays d'origine & nationalité : États-Unis (Miami), Américain
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Statut matrimonial : Célibataire à vie (ou pas)
En ce moment : Un citoyen lambda
Métier ou occupation : Entrepreneur (créateur d'une application de rencontres élitiste) et investisseur du Pacific Star
Classe sociale : Qui veut compter des (mes) millions ?
W.O.W.
Je suis en amour, en extase, ce que tu veux. Ce début de fiche, cette plume ... AMEN.
Et ce choix de métier super original pour ton personnage ! J'adooore. J'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ce personnage (mais les fajitas au tofu ça m'intrigue maintenant 
)
Bienvenue !
Je suis en amour, en extase, ce que tu veux. Ce début de fiche, cette plume ... AMEN.
Et ce choix de métier super original pour ton personnage ! J'adooore. J'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ce personnage (mais les fajitas au tofu ça m'intrigue maintenant )Bienvenue !
- Adan Ibarra
306 06/08/2018
Alex Sewall
Chevalisse
28 YO
France (français)
Bisexuel
Célibataire
Sur le Pacific Star
Coach Sportif / Professeur de danse
Moyenne à aisée
Equipage
Messages : 306 Date d'inscription : 06/08/2018
Avatar : Alex Sewall
Crédits : Chevalisse
Age du personnage : 28 YO
Pays d'origine & nationalité : France (français)
Orientation sexuelle : Bisexuel
Statut matrimonial : Célibataire
En ce moment : Sur le Pacific Star
Métier ou occupation : Coach Sportif / Professeur de danse
Classe sociale : Moyenne à aisée
Les fajitas au tofu ? Monsieur tu dois m'inviter chez toi pour me faire goûter, tu as attisé ma curiosité. 
BIENVENUUUUE
BIENVENUUUUE
- Legion Ludchance
48 05/10/2018
Damaris Goddrie
Electre
25
Sur le Pacific Star
Equipage
Messages : 48 Date d'inscription : 05/10/2018
Avatar : Damaris Goddrie
Crédits : Electre
Age du personnage : 25
En ce moment : Sur le Pacific Star
Oh dear god, vous êtes beaucoup trop mignons vous tous là ! Merci beaucoup ! Je continue dans la soirée ! 
Et pour les fajitas au tofu, vous venez quand vous voulez à la maison pour goûter !
Je continue dans la soirée ! Et pour les fajitas au tofu, vous venez quand vous voulez à la maison pour goûter !
- Ronan Stark
55 05/10/2018
Jack Falahee
BALACLAVA
26 ans
Anglais
Bisexuel
Célibataire
Sur le Pacific Star
Directeur des ressources humaines
aisée
Equipage
Messages : 55 Date d'inscription : 05/10/2018
Avatar : Jack Falahee
Crédits : BALACLAVA
Age du personnage : 26 ans
Pays d'origine & nationalité : Anglais
Orientation sexuelle : Bisexuel
Statut matrimonial : Célibataire
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Métier ou occupation : Directeur des ressources humaines
Classe sociale : aisée
Bienvenu sur PS 
- Adan Ibarra
306 06/08/2018
Alex Sewall
Chevalisse
28 YO
France (français)
Bisexuel
Célibataire
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Coach Sportif / Professeur de danse
Moyenne à aisée
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Avatar : Alex Sewall
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Pays d'origine & nationalité : France (français)
Orientation sexuelle : Bisexuel
Statut matrimonial : Célibataire
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Classe sociale : Moyenne à aisée
- Leilani Salazar
97 05/10/2018
Melodie Monrose
SKATE VIBE (avatar) old money (sign)
26 ans
Américaine, la chaleur du Congo et du Gabon coulant dans ses veines
Hétérosexuelle
Mariée mais séparée. Elle va tenter de reconstruire sa vie
Sur le Pacific Star
Au chômage. Se fait passer pour une grande styliste.
Moyenne
Passager
Messages : 97 Date d'inscription : 05/10/2018
Avatar : Melodie Monrose
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Pays d'origine & nationalité : Américaine, la chaleur du Congo et du Gabon coulant dans ses veines
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Statut matrimonial : Mariée mais séparée. Elle va tenter de reconstruire sa vie
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Métier ou occupation : Au chômage. Se fait passer pour une grande styliste.
Classe sociale : Moyenne
Cet avatar est tellement choupi
Et puis ce début d'histoire Elle a quelques ressemblances avec Lei alors je passerai surement sur ta fiche de liens
Bienvenue parmi nous sinon
Et puis ce début d'histoire
Elle a quelques ressemblances avec Lei alors je passerai surement sur ta fiche de liens Bienvenue parmi nous sinon
- Legion Ludchance
48 05/10/2018
Damaris Goddrie
Electre
25
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Messages : 48 Date d'inscription : 05/10/2018
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Age du personnage : 25
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Merci tout le monde ! C'est terminé, j'espère que ça ira et que la transposition ne sera pas trop ardue !
@Leilani Salazar Au plaisir d'écrire ensemble un de ces jours alors !!
@Leilani Salazar Au plaisir d'écrire ensemble un de ces jours alors !!
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